Salut!
Je
m’appelle Arianna Pettigrosso, j’ai quinze ans et je suis née le 18 septembre
2000.
J’habite
à Sant’Elia a Pianisi, un village près de Campobasso, dans le Molise, une
région qui se trouve au sud de l’Italie.
Je
suis étudiante et je fréquente la deuxième année du Lycée Linguistique
«Giuseppe Maria Galanti» de Campobasso.
Je
suis italienne, mais j’adore apprendre de nouvelles langues étrangères comme le
français, l’anglais et l’espagnol.
Mes
matières préférées sont l’italien, l’anglais, le français et l’espagnol, mais
je n’aime pas les maths.
Je
suis grande et mince, j’ai les cheveux longs, bouclés et châtains, j’ai les
yeux noisette, le nez petit et la bouche petite.
Je
suis réfléchie, sympa et très timide, mais je suis aussi peureuse et quelque
fois un peu solitaire.
Ma
famille est composée par mon père Nicola, ma mère Pina, ma petite sœur Celeste
et moi.
Mon
père est architecte et il travaille dans son cabinet à Sant’Elia, ma mère est enseignante
et elle travaille dans une école primaire et enfin il y a Celeste. Ma sœur a
six ans et elle fréquente la deuxième année de l’école primaire de Sant’Elia.
Elle est petite et mince, mais elle est très dynamique.
J’aime
lire, écouter tous les genres de musique et danser. En fait les années
dernières j’ai pratiqué de la gymnastique rythmique, mais aujourd’hui je ne la
pratique plus, parce que je n’ai pas beaucoup de temps.
J’ai
beaucoup d’amis, nous sortons ensemble tous les après-midi et nous nous amusons
beaucoup.
Mon
rêve est voyager et connaître de nouvelles cultures et traditions.
Il
n’y a pas de mots pour décrire ce qui est arrivé à Paris vendredi 13 novembre.
Pour moi, il est très difficile de penser à des gens qui sont sortis pour
s’amuser et ont trouvé la mort sans un pourquoi.
Il y
a des jeunes extrémistes qui combattent férocement au nom de leur dieu. Est-ce une guerre de religion? Non, c’est la
victoire du mal et de la méchanceté des hommes. On ne peut tuer personne, ni en
France, ni en Russie, ni en Syrie, ni en Afghanistan, ni en Amérique. Tous les
hommes sont libres de penser, de vivre, de jouir, de voyager et personne ne doit
oser piétiner tout ça.
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